Boutique hôtel de charme dans un quartier qui l’est tout autant, la Villa Ba'moshava est un petit cocon parfait pour se ressourcer à quelques encablures du centre historique et bouillonnant de Jérusalem.
Mais qu’elle est belle cette bâtisse au cœur de la colonie allemande de Jérusalem ! Boutique hôtel abritant une vingtaine de chambres, la Villa Ba'moshava est le genre d’endroit où plus que de se sentir « comme chez soi » : on aimerait vraiment en être le proprio ! Ancienne demeure d’un dignitaire arabe datant de la fin du 19e siècle, les volumes sont magnifiques, la décoration stylée (à condition d’aimer les couleurs vives) et l’ambiance parfaite pour chiller. Il faut dire que le jardin y est pour beaucoup : vous entendez le chant des oiseaux ? Installez-vous à l’ombre des arbres centenaires et profitez du moment, c’est juste kiffant ! On vous file notre billet que vous allez adorer les fins d’après-midis à la Villa Ba'moshava, lorsque vous siroterez un petit verre de vin accompagné d’une pâtisserie. Parce qu’ici, l’happy hour, c’est sacré, et ce serait dommage de le louper ! Vous l’apprécierez d’autant plus si vous venez de vous faire masser, car oui, à la Villa Ba’moshava, il y a aussi un spa. C’est vrai que la cerise sur le gâteau aurait été une petite piscine. Mais comme on ne peut pas tout avoir (et que sans piscine, c'est plus écolo !), on se contentera de ce qu’on a. Et c’est déjà pas mal du tout.
Y a-t-il une salle de sport à la Villa Ba'moshava ?
Non, mais si vous voulez travailler vos mollets, on vous prête des vélos pour visiter la ville, et comme ils ne sont pas électriques, vous allez pouvoir transpirer.
Peut-on séjourner à la Villa Ba'moshava avec des enfants ?
Oui, tous les enfants sont les bienvenus, et l’hôtel dispose mêm de chambres familiales. Des lits bébés sont également mis gratuitement à disposition des plus petits jusqu’à 2 ans.
Y a-t-il un parking à la Villa Ba'moshava ?
Non, mais il est relativement facile de se garer aux alentours, l’hôtel étant situé dans un quartier résidentiel. Par contre c’est forcément payant.