L'architecture blanche des Cyclades, une belle plage privée, une vue mer absolument dingue, un bon resto locavore et un staff tip-top !
Pureté. Malgré son p'tit nom sulfureux, Lolita n'a rien à cacher. Au-dessus d'elle, le ciel sans nuages des îles grecques. À ses pieds, les eaux transparentes de la mer Égée, qui révèlent sans pitié chaque rocher et lèchent une plage privée virginale, dont le sable doré n'admet ni les galets, ni les regards indiscrets. Eh oui, sur la trop touristique Mykonos, on vous a trouvé LE coin tranquille ! En remontant le chemin qui mène à la roche où paresse ce boutique-hôtel, jeu de bâtiments bas autour d'une jolie piscine bleue, vos yeux clignotent devant son blanc virginal, typique des constructions cycladiques. Émaillée de cactées, opuntias, bougainvillées, Lolita marie harmonieusement la chaux traditionnelle et la pierre naturelle, gris-beige sur les sols et murets. Avec sa chapelle au dôme blanc et ses terrasses au-dessus des flots (alerte vue !!!), semées de transats, parasols en paille et tables où on savoure des cocktails 100 % mykoniens, elle sent les Cyclades à plein nez. Pas étonnant : pas d'hospitalité sans tradition, sans culture, c'est la philo même du groupe Grecotel. Bonne élève, Lolita applique aussi ses beaux engagements écolo. Grecotel, c'est quand même le premier groupe hôtelier méditerranéen à avoir créé un département pour la protection de l'environnement.
