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Europe - Danemark
Rando-Kayak dans la Baie De Disko
Naviguant au coeur de cette véritable "autoroute à icebergs", chaque iceberg surpassant le précédent en spectacle, vous pourrez parfois les voir basculer ou s'entrechoquer, permettant ainsi de saisir la complexité de cet environnement, à la fois robuste et fragile. Parcourez des lieux préservés et chargés d'histoire, notamment les villages de Saqqaq et Qeqertaq, dominés par la péninsule de Nuussuaq. Cette barrière naturelle, composée de glace et de roches, atteint des altitudes dépassant les 1 000 mètres.
Tout au long de votre périple en kayak au Groenland, vous aurez l'opportunité de rencontrer les Inuits, et ainsi de découvrir ce peuple dans sa vie quotidienne.
Vos 19 étapes
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Après avoir pris votre vol en direction de Copenhague, vous séjournez pour la nuit dans un hôtel de la ville. Dîner et soirée libre.
Après un vol pour Ilulissat, votre arrivée sera marquée par l'installation à l'auberge. Explorez cette ville de 4500 habitants et effectuez les derniers préparatifs avant le départ pour Saqqaq le lendemain.
Vous allez explorez pendant 13 jours l'immense glacier de Sermermiut, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, et dont les proportions défient toute norme. Ce glacier, responsable de 7% des icebergs du Groenland, soit près de 20 milliards de tonnes de glace, sera le décor fascinant de votre exploration. La légende raconte même que l'iceberg à l'origine du naufrage du Titanic proviendrait de ces majestueuses étendues glacées..
Vous allez explorez pendant 13 jours l'immense glacier de Sermermiut, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, et dont les proportions défient toute norme. Ce glacier, responsable de 7% des icebergs du Groenland, soit près de 20 milliards de tonnes de glace, sera le décor fascinant de votre exploration. La légende raconte même que l'iceberg à l'origine du naufrage du Titanic proviendrait de ces majestueuses étendues glacées..
Cap au nord à bord du Sapangak, l'express côtier, votre périple se dévoile. Vous découvrez la baie de Disko, où d'immenses icebergs se libèrent du glacier Sermermiut. En chemin, vous aurez souvent l'occasion d'observer des baleines à bosse et des rorquals près de l'ancienne cité baleinière d’Agpa. Après une brève escale à Qeqertaq, vous débarquez à Saqqaq, point de départ de votre expédition. Sous la guidance de votre guide, le camp est installé et un briefing complet précède le grand départ. En soirée, visitez le village de Saqqaq et son port de pêche, tout en admirant la présence de ces imposants d'icebergs.
La première étape de votre aventure débute avec une journée d'initiation au kayak et aux règles de navigation au cœur des glaces. Vous formez des binômes, testez le matériel, puis partez explorer les eaux entourées d'icebergs. Vous approchez différents types de glaces que votre guide vous apprendra à reconnaître. Tout au long de cette journée, des tests variés vous permettront de vous familiariser pleinement avec vos nouvelles embarcations
C'est le moment tant attendu ! Vous procédez au démontage du camp, chargez les kayaks et mettez le cap vers Niakornarssuk. Vous évoluez alors au cœur d'un authentique "Manhattan des glaces", où des icebergs se dressent avec majesté, atteignant près de 40 mètres de haut et de 100 à 150 mètres de long. À l'horizon plein sud, vous percevez la lente migration des glaces d'Ilulissat et du Sermermiut. Avec les glaces du Torssukatak, cette zone forme la concentration la plus impressionnante d'icebergs sur la côte ouest du Groenland.
Une fois que vous atteignez la plage de galets de Niakornarssuk, une scène tout à fait exceptionnelle se révèle devant vous. Le soleil de minuit embrase l'horizon et éclaire la côte est de l'île de Disko d'une manière unique. Il est fréquent en ces lieux d'entendre le souffle majestueux des rorquals et des baleines à bosse. Avec un peu de chance et de patience, vous aurez l'opportunité de les approcher en kayak.
Une fois que vous atteignez la plage de galets de Niakornarssuk, une scène tout à fait exceptionnelle se révèle devant vous. Le soleil de minuit embrase l'horizon et éclaire la côte est de l'île de Disko d'une manière unique. Il est fréquent en ces lieux d'entendre le souffle majestueux des rorquals et des baleines à bosse. Avec un peu de chance et de patience, vous aurez l'opportunité de les approcher en kayak.
Vous quittez votre camp pour entamer une navigation côtière en direction de la pointe de Nua, la porte d'entrée du légendaire fjord Torssukatak. Selon votre vitesse de déplacement, plusieurs options de bivouac ou de pique-nique s'offrent à vous.
Une halte est prévue à Ikorfat, un petit village abandonné au siècle dernier. Ses vestiges d'habitats traditionnels se fondent discrètement dans la toundra, comme décrits par Paul-Emile Victor ou Jean Malaurie dans les années 50. C'est dans cet endroit chargé d'histoire que vous prendrez votre déjeuner.
Après une après-midi de navigation parmi les glaces, vous atteindrez la pointe sud-ouest de l'île de Qeqertaq, où vous installerez votre bivouac. De là, vous avez une vue à 360° sur la glace et les icebergs en mouvement constant.
En soirée, cous partez à la découverte du village voisin de Qeqertaq et de la vie traditionnelle des chasseurs pêcheurs du Groenland.
Une halte est prévue à Ikorfat, un petit village abandonné au siècle dernier. Ses vestiges d'habitats traditionnels se fondent discrètement dans la toundra, comme décrits par Paul-Emile Victor ou Jean Malaurie dans les années 50. C'est dans cet endroit chargé d'histoire que vous prendrez votre déjeuner.
Après une après-midi de navigation parmi les glaces, vous atteindrez la pointe sud-ouest de l'île de Qeqertaq, où vous installerez votre bivouac. De là, vous avez une vue à 360° sur la glace et les icebergs en mouvement constant.
En soirée, cous partez à la découverte du village voisin de Qeqertaq et de la vie traditionnelle des chasseurs pêcheurs du Groenland.
Vous quittez le bivouac pour pagayer jusqu'à Nugat, où vous déjeunerez à proximité de sa falaise aux oiseaux. Mouettes tridactyles, guillemots de Brünnich, guillemots miroir et mergules nains cohabitent en harmonie. Il n'est pas rare d'observer les premiers envols des juvéniles, tandis qu'au sol, la présence occasionnelle d'un lièvre ou d'un renard polaire ajoute à la richesse de la faune.
Poursuivant votre exploration naturaliste de la toundra, vous vous familiarisez avec les différentes variétés qui la composent. Saules arctiques, bouleaux nains, saxifrages à feuilles opposées, épilobes, pavots arctiques et linaigrettes, ainsi que des lichens bruns ou noirs, témoignent d'une vie rude et de surprenantes capacités d'adaptation au froid développées pour survivre.
Dans l'après-midi, vous tracez un chemin entre les glaces du Torssukatak jusqu'à la passe d’Ililliarssup, où vous plantez votre bivouac. Ce site stratégique est incontournable avant toute traversée du Torssukatak en direction de la baie de Quervain. Depuis des générations et dans le sillage de leurs pères et grands-pères, Algot et Juanguak, amis inuit de votre guide Eric, ont fait d’Ililliarssup leur camp de pêche et chasse privilégié. Peut-être aurez-vous la chance de les rencontrer.
Poursuivant votre exploration naturaliste de la toundra, vous vous familiarisez avec les différentes variétés qui la composent. Saules arctiques, bouleaux nains, saxifrages à feuilles opposées, épilobes, pavots arctiques et linaigrettes, ainsi que des lichens bruns ou noirs, témoignent d'une vie rude et de surprenantes capacités d'adaptation au froid développées pour survivre.
Dans l'après-midi, vous tracez un chemin entre les glaces du Torssukatak jusqu'à la passe d’Ililliarssup, où vous plantez votre bivouac. Ce site stratégique est incontournable avant toute traversée du Torssukatak en direction de la baie de Quervain. Depuis des générations et dans le sillage de leurs pères et grands-pères, Algot et Juanguak, amis inuit de votre guide Eric, ont fait d’Ililliarssup leur camp de pêche et chasse privilégié. Peut-être aurez-vous la chance de les rencontrer.
Vous quittez le camp et apercevez sur votre gauche le front glaciaire du Torssukatak. Ses grondements sourds vous accompagnent, rappelant la fragilité et la sournoiserie de la glace.
Après une navigation de 4 heures au cœur des glaces, sans possibilité de débarquement, vous atteignez enfin la rive opposée du fjord, où une pause déjeuner bien méritée vous attend.
En après-midi, vous laissez momentanément vos kayaks pour une promenade sur les crêtes qui surplombent le bivouac. C'est à cet endroit que se dévoile toute l'immensité de la baie, avec sa multitude d'îlots prisés par les bernaches et les eiders pour leur nidification. Vous installez votre bivouac en face du glacier de Kangilerngata.
Après une navigation de 4 heures au cœur des glaces, sans possibilité de débarquement, vous atteignez enfin la rive opposée du fjord, où une pause déjeuner bien méritée vous attend.
En après-midi, vous laissez momentanément vos kayaks pour une promenade sur les crêtes qui surplombent le bivouac. C'est à cet endroit que se dévoile toute l'immensité de la baie, avec sa multitude d'îlots prisés par les bernaches et les eiders pour leur nidification. Vous installez votre bivouac en face du glacier de Kangilerngata.
Aujourd'hui, vous tentez de vous approcher au plus près du glacier de Kangilerngata en kayak. Le front du glacier se trouve à moins de 3 kilomètres, et ses effondrements sont perceptibles à l'œil nu. De gigantesques blocs se détachent, dévalant la falaise de glace et générant des vagues impressionnantes qui submergent la grève. Un vent froid soufflant depuis la calotte glaciaire vous rappelle que vous vous trouvez devant la deuxième plus grande masse de glace du monde. En haut dans la toundra, vous installez votre bivouac pour 2 nuits.
Pour cette étape, vous mettez de côté les kayaks pour explorer à pied les environs du glacier Eqi. Son front glaciaire, étroit et plus élevé que celui du Kangilerngata, offre des effondrements encore plus impressionnants. Un grondement sourd se propage le long des falaises, perturbant la quiétude de la baie de Quervain. Çà et là, quelques tombes oubliées, vestiges d'un passé inuit, rappellent à quel point la vie est fragile. À travers des jumelles, vous distinguez au loin le site Paul-Emile Victor.
Repartant en kayak, vous longez de charmantes plages de sable fin au cœur d'un dédale d'îles. Chacun de ces îlots surplombe la mer de quelques mètres à peine. Les bernaches et les canards ont investi ces lieux, et vous observez de nombreux nids. Les juvéniles, ayant récemment quitté leurs nids, découvrent la mer, peinant pour décoller.
À proximité d'un petit torrent, vous installez le bivouac pour deux nuits. Non loin du camp, vous vous dirigez à pied vers un site habité au siècle dernier. Les fondations en pierre et en tourbe, les squelettes de baleines et les tombes témoignent de la présence passée de chasseurs inuits dans cette région.
À proximité d'un petit torrent, vous installez le bivouac pour deux nuits. Non loin du camp, vous vous dirigez à pied vers un site habité au siècle dernier. Les fondations en pierre et en tourbe, les squelettes de baleines et les tombes témoignent de la présence passée de chasseurs inuits dans cette région.
A pied, vous suivez le lit d'un torrent asséché en direction du sommet sud d’Anapnuna, qui surplombe le glacier de Kangilerngata. La toundra est dense et encore humide, rendant votre progression relativement lente. Cependant, elle s'accélère vers le sommet, où toute végétation a disparu.
Votre marche dérange à plusieurs reprises des colonies de bernaches venues protéger leur portée du vent. Après 5 heures d'ascension, vous atteignez enfin le sommet. Le paysage qui se dévoile est à la fois émouvant et solennel, d'autant plus que la veille, vous bivouaquiez en face, en contrebas. Un cairn gigantesque marque le sommet, devenant ainsi votre Everest arctique.
Votre marche dérange à plusieurs reprises des colonies de bernaches venues protéger leur portée du vent. Après 5 heures d'ascension, vous atteignez enfin le sommet. Le paysage qui se dévoile est à la fois émouvant et solennel, d'autant plus que la veille, vous bivouaquiez en face, en contrebas. Un cairn gigantesque marque le sommet, devenant ainsi votre Everest arctique.
À bord de vos kayaks, vous entamez une longue descente du Torssukatak, naviguant entre les glaces d'effondrement et les icebergs. Cette fois-ci, le vent provenant de la calotte polaire vous pousse en direction de la pointe de Nua. C'est à ce moment précis que vous prenez pleinement conscience du ballet incessant des icebergs. Sous l'influence des vents et des courants, en l'espace d'une semaine, ils ont parcouru des centaines de mètres. Certains ont pivoté ou se sont même renversés.
Poursuivant votre avancée en kayak, vous atteignez le fond d'une petite crique discrète et oubliée où vous établissez l'un de vos derniers bivouacs. Isaak, chasseur pêcheur inuit et ami de votre guide Eric, a renforcé l'ancien abri de chasse de ses ancêtres à cet endroit. Chaque année, il vous accueille et se joint parfois à votre dîner. Une expérience unique à vivre que vous partagez avec lui.
Dernière exploration en kayak à travers le fjord de Saputit. Vous vous engagez dans ce fjord profond où la glace est omniprésente. À la fin du mois d'août, les caribous abandonnent les environs des glaciers pour rejoindre l'embouchure du Saputit à la recherche de mousses et de lichens.
Après 13 jours de navigation au milieu des glaces, vous regagnez le village de Saqqaq. Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin. Il est temps d'effectuer le rangement du matériel et de vous préparer pour le retour.
Vous naviguez vers Ilulissat à bord du bateau côtier, puis passez la nuit dans cette célèbre ville des icebergs.
Vous prenez un vol en direction de Copenhague, où vous passerez la nuit.
Vous prenez un vol en direction de Paris pour le retour en France.
Descriptif détaillé
Niveau physique et preparation
On sera combien
Suivez le guide
On se deplace comment sur place
Esprit du voyage
NB
Petit equipement personnel
Volez en bonne compagnie
On dort ou
Niveau physique et preparation
Circuit itinérant de 2 semaines en milieu isolé. Sans portage. 4 à 6 heures de kayak par jour avec alternance de randonnée à pied en étoile sur terrains divers. Expérience en kayak préférable. Il est nécessaire de savoir nager et notamment d'être en mesure de tenir une distance minimum de 25 mètres à la nage et de pouvoir s’immerger totalement sous l’eau.
[b]Préparation physique[/b]
Afin d’éviter les courbatures des premiers jours, il est important de s’échauffer un peu avant le départ. Faites quelques pompes et tractions chaque jour pendant une semaine. Un autre moyen de mise en forme (surtout pour les bras et les épaules), quelques séances de piscine en faisant des longueurs en insistant bien sur les bras. Inutile de trop forcer, le but de cette préparation est d’éveiller certains muscles qui n’ont pas l’habitude de travailler. Prévoyez d’emporter un tube de baume chauffant ou un décontractant léger.
[b]Préparation psychologique[/b]
En Arctique, il faut avoir l'esprit souple. Ici, ce sont les éléments qui décident. Ils peuvent vous obliger à dérouter le parcours, retarder le départ ou rentrer en retard. Le guide est seul maître sur le terrain et peut être amené à prendre des décisions capitales. En somme, partir en Arctique, c'est partir à l'aventure et accepter que les éléments gouvernent à notre place..
[b]Caractéristiques du circuit[/b]
Au Groenland et dans les régions polaires en général, aucune infrastructure n'est disponible une fois que l'on quitte une ville ou un village. Tout doit être transporté, des tentes et sacs de couchage aux vêtements, ustensiles de cuisine et provisions. Une randonnée à pied de plus de 8 jours devient rapidement une tâche exigeante. Quant aux porteurs, contrairement au Népal, même à 150 euros par jour et par personne, cette option n'est pas envisageable.
Face à ce défi logistique, nous avons opté pour le kayak en tant que moyen de locomotion. En tant que mode ancestral des Inuits, le kayak se révèle être une solution silencieuse et autonome. Il nous permet d'explorer des criques de l'autre côté des glaciers ou des îlots autrement inaccessibles à pied. Le kayak devient ainsi notre vélo et notre caravane, nous assurant une autonomie totale pendant 15 jours, 3 semaines, voire plus.
Nos séjours sont itinérants (tous les jours ou tous les 2 jours, nous nous déplaçons) ou fixes (nous établissons un camp de base et explorons toutes les possibilités : un jour à pied, un autre en kayak, un troisième pour observer une colonie d’oiseaux, des phoques… lorsque nous avons "épuisé" la région, nous partons sur un autre camp de base, déménageant notre matériel en kayak !). Dans tous les cas (même les expés), nous laissons une large part aux balades à pied qui sont d’autant plus agréables que nous ne transportons que les affaires de la journée.
Difficultés : dès l’instant où vous n’êtes pas "tétanisé" à l’idée de mettre un pied dans l’eau, tous ces séjours sont accessibles à toute personne en bonne forme physique, ayant l’habitude du plein air… Après, tout dépendra de la météo !!!
Ce séjour n'est pas difficile techniquement en revanche, la durée d'isolement et de vie sous tente est relativement longue.
Distance parcourue en kayak : 80 à 150 km
[b]Déroulement d'une journée type[/b]
Elle est bien sûr guidée avant tout par la météo, les glaces, la forme et les envies de chacun.
08h30 Lever, petit déjeuner, démontage des tentes, chargement des kayaks.
10h00 Départ en progressant régulièrement durant deux à trois heures, nous aurons effectué l’essentiel de notre étape dans la matinée.
12h30 Arrêt pour le repas de midi.
14h00 Reprise de la navigation, chasse photo… Rythme plus détendu qu’en début de journée.
17h00 Choix de l'emplacement et installation du camp, promenade dans les alentours, préparation du feu, veillée.
Cet itinéraire est simplement une indication du déroulement de notre randonnée, au cours de laquelle plusieurs journées pourront être entièrement dédiées à des balades à pied ou à d'autres activités au choix. Il est essentiel que chaque participant participe activement à la vie quotidienne, que ce soit en cherchant du bois, en ramenant de l'eau, en montant sa tente, ou en aidant à la préparation des repas. Ces tâches font intégralement partie de notre mode de voyage.
En fonction du groupe et du guide, les journées peuvent également débuter plus tard, sans pour autant être plus courtes (en raison parfois de débarquements tardifs). L'objectif principal demeure de tirer le meilleur parti des richesses du site. Patienter quelques heures pour bénéficier d'une belle lumière sur un glacier peut grandement améliorer le souvenir que l'on en conservera.
[b]Les moustiques[/b]
Les insectes varient d'une année à l'autre et d'un endroit à l'autre. Malgré tout, avec des produits adaptés, ils restent généralement supportables. Les crèmes anti-moustiques françaises ne sont pas idéales pour les régions arctiques ; privilégiez les produits locaux. Un tube peut être utile en attendant d'en acheter sur place. Bien que la moustiquaire ne soit pas toujours nécessaire, sa légèreté en fait un ajout judicieux au sac à dos.
[b]Durée du voyage - autonomie[/b]
La durée en autonomie est préalablement déterminée dans le programme de chaque séjour. Plus elle est longue, plus vous vous éloignez des villages habités, nécessitant une préparation à l'isolement total. En cas de problème, le rapatriement est relativement simple près d'un village, mais devient une aventure à plusieurs dizaines voire centaines de kilomètres. Les secours sont lents, donc vous devez être conscients que vous êtes essentiellement responsables de votre propre sécurité.
[b]Les conditions météo[/b]
La météo, particulièrement imprévisible à ces hautes latitudes, peut vous réserver des conditions difficiles. Êtes-vous prêt à affronter la pluie, le vent, la neige, et l'attente pendant une, deux, voire trois semaines en cas de malchance ? Bien que ce soit l'une des principales difficultés, soyez rassuré : il fait aussi très souvent beau, et quinze jours voire trois semaines de ciel bleu ne sont pas rares.
[b]La sécurité[/b]
Nos raids sont équipés de balises de détresse de type Sarsat, qui, en cas d'extrême urgence, déclenchent l'intervention du moyen de secours le plus approprié. Cependant, le délai d'intervention peut varier de quelques heures (en cas d'hélicoptère ou d'avion) à plus d'un jour (en cas de bateau). Le guide dispose également d'un téléphone satellite qu'il utilise pour informer l'agence de l'itinéraire suivi.
La combinaison sèche est un gage de sécurité excellent en cas de chute dans l'eau froide, mais le port du gilet de sauvetage demeure obligatoire.
En mer comme à terre, il est impératif de ne jamais s'écarter du groupe sans en informer l'accompagnateur. En mer, il est crucial que les kayaks restent à portée de voix. Chaque jour, en fonction de la météo et de la nature de l'étape, l'accompagnateur donnera des consignes spécifiques. Pour l'embarquement et l'accostage, suivez ses indications, car chaque lieu de débarquement est unique.
En cas de retournement en mer, sortez immédiatement du kayak, agrippez-vous à la coque et éventuellement montez dessus. N'essayez jamais de nager jusqu'à la rive. L'accompagnateur décidera de la méthode de sauvetage à appliquer (remise à flot, remorquage, prise en charge par des kayaks sauveteurs). En cas de retournement, restez calme, car ces situations sont très rares, généralement liées à une imprudence de l'équipage et se terminent toujours favorablement.
[b]Les kayaks[/b]
Ils offrent une stabilité remarquable à condition de respecter certaines règles fondamentales... Notre flotte se compose de kayaks "Kodiak" (biplaces "Biwok" et monoplaces "Aquanaut") ou "Looksha" de Necky. Ces kayaks rigides sont à la fois maniables, stables et dotés d'une bonne vitesse de déplacement, les rendant adaptés, notamment, pour une première expérience. Le kayak facilite le déplacement d'un point à un autre et le transport de l'équipement. La principale échelle de difficulté à considérer concerne la durée et les conditions météorologiques. Il est important de noter que par temps clair et en mer calme, la randonnée en kayak est, toutes proportions gardées, plus accessible que la randonnée à pied.
[b]Préparation du raid[/b]
Un minimum d’une demi-journée (voire plus) est toujours nécessaire pour préparer le départ : conditionnement de la nourriture, des effets collectifs et personnels, chargements des kayaks, réglages des pédaliers, essayage de la combinaison sèche, sont d’autant d’impératifs qui retardent la première mise à l’eau. A vous de vous organiser et d’aider l’accompagnateur pour perdre le moins de temps possible.
[b]Chargement des kayaks[/b]
Deux larges sacs étanches vous sont remis au début de l'expédition, abritant vos effets personnels. Ils sont placés dans les compartiments étanches des kayaks rigides. Un grand sac peut facilement se caser entre les jambes du kayakiste, ce qui cale agréablement les genoux. L’intérieur de la coque est réservé à la tente, la nourriture et à tout ce qui est lourd (trépied photo, chaussures de marche, bidons d’eau...).
[b]Les sacs étanches[/b]
En kayak, tout se mouille plus ou moins. Les affaires personnelles seront donc rangées dans des sacs étanches. Prévoyez des sacs plastiques pour doubler la protection de vos affaires, et également vos propres sacs étanches pour tout le matériel précieux (matériel photo…).
[b]Entretien de l'équipement[/b]
Nos kayaks sont tous en parfait état, entièrement révisés avant l’été. Il est donc important d’en prendre soin pour que les participants à un séjour en fin de saison puissent bénéficier d’un matériel de même qualité. Les kayaks doivent être sortis de l’eau, vidés et retournés tous les soirs. Evitez toutes formes de chocs ou de frottements contre les cailloux ; accostez safran levé. La petite glace ne pose pas de problème pour être traversée en kayak, mais les gros morceaux sont de véritables dangers pour la coque et peuvent la percer. N’hésitez pas à faire part à l’accompagnateur de toute anomalie.
Vous ne devez pas fumer lorsque vous êtes en tenue de kayak ( tout simplement pour éviter de faire des trous dans les jupes, gilets ou combinaisons !… il en est d’ailleurs de même dans les tentes, par simple respect pour les personnes qui vous suivront et qui ne souhaitent pas forcément y sentir des odeurs de tabac !).
[b]La navigation[/b]
La vitesse moyenne de progression oscille entre 4 et 5 km/h, sans prendre en compte les arrêts. Une étape de 15 km par jour est considérée comme moyenne, tandis qu'elle devient très bonne à partir de 25 km.
Dans un kayak biplace, c'est la personne à l'arrière qui dirige l'embarcation à l'aide d'un pédalier relié au gouvernail (le safran étant la partie immergée du gouvernail). La personne assise à l’avant est chargée de donner le rythme de pagayage, auquel l’équipier à l’arrière devra s’adapter..
Un rythme rapide en "effleurant l'eau" ne peut rivaliser avec un rythme lent en appliquant une pression sur la pagaie. Il est crucial de ressentir la résistance de l'eau pour avancer. Il est recommandé de tendre les bras et de porter la pale de la pagaie loin en avant pour obtenir un mouvement ample (le parcours de la pale dans l'eau doit être aussi long que possible). Bien que l'effort ne soit jamais violent, il est bien présent.
Si vous n'êtes pas un adepte du sport et que, après votre première sortie en kayak, vous ne ressentez pas de fatigue... il serait peut-être bon de vous inquiéter de l'état de votre équipier...
[b]Quelques aspects pratiques[/b]
La peau des mains met très longtemps avant de s’insensibiliser aux frictions avec la pagaie ; prévoyez le nécessaire contre les ampoules, ainsi que des gants.
[b]Préparation physique[/b]
Afin d’éviter les courbatures des premiers jours, il est important de s’échauffer un peu avant le départ. Faites quelques pompes et tractions chaque jour pendant une semaine. Un autre moyen de mise en forme (surtout pour les bras et les épaules), quelques séances de piscine en faisant des longueurs en insistant bien sur les bras. Inutile de trop forcer, le but de cette préparation est d’éveiller certains muscles qui n’ont pas l’habitude de travailler. Prévoyez d’emporter un tube de baume chauffant ou un décontractant léger.
[b]Préparation psychologique[/b]
En Arctique, il faut avoir l'esprit souple. Ici, ce sont les éléments qui décident. Ils peuvent vous obliger à dérouter le parcours, retarder le départ ou rentrer en retard. Le guide est seul maître sur le terrain et peut être amené à prendre des décisions capitales. En somme, partir en Arctique, c'est partir à l'aventure et accepter que les éléments gouvernent à notre place..
[b]Caractéristiques du circuit[/b]
Au Groenland et dans les régions polaires en général, aucune infrastructure n'est disponible une fois que l'on quitte une ville ou un village. Tout doit être transporté, des tentes et sacs de couchage aux vêtements, ustensiles de cuisine et provisions. Une randonnée à pied de plus de 8 jours devient rapidement une tâche exigeante. Quant aux porteurs, contrairement au Népal, même à 150 euros par jour et par personne, cette option n'est pas envisageable.
Face à ce défi logistique, nous avons opté pour le kayak en tant que moyen de locomotion. En tant que mode ancestral des Inuits, le kayak se révèle être une solution silencieuse et autonome. Il nous permet d'explorer des criques de l'autre côté des glaciers ou des îlots autrement inaccessibles à pied. Le kayak devient ainsi notre vélo et notre caravane, nous assurant une autonomie totale pendant 15 jours, 3 semaines, voire plus.
Nos séjours sont itinérants (tous les jours ou tous les 2 jours, nous nous déplaçons) ou fixes (nous établissons un camp de base et explorons toutes les possibilités : un jour à pied, un autre en kayak, un troisième pour observer une colonie d’oiseaux, des phoques… lorsque nous avons "épuisé" la région, nous partons sur un autre camp de base, déménageant notre matériel en kayak !). Dans tous les cas (même les expés), nous laissons une large part aux balades à pied qui sont d’autant plus agréables que nous ne transportons que les affaires de la journée.
Difficultés : dès l’instant où vous n’êtes pas "tétanisé" à l’idée de mettre un pied dans l’eau, tous ces séjours sont accessibles à toute personne en bonne forme physique, ayant l’habitude du plein air… Après, tout dépendra de la météo !!!
Ce séjour n'est pas difficile techniquement en revanche, la durée d'isolement et de vie sous tente est relativement longue.
Distance parcourue en kayak : 80 à 150 km
[b]Déroulement d'une journée type[/b]
Elle est bien sûr guidée avant tout par la météo, les glaces, la forme et les envies de chacun.
08h30 Lever, petit déjeuner, démontage des tentes, chargement des kayaks.
10h00 Départ en progressant régulièrement durant deux à trois heures, nous aurons effectué l’essentiel de notre étape dans la matinée.
12h30 Arrêt pour le repas de midi.
14h00 Reprise de la navigation, chasse photo… Rythme plus détendu qu’en début de journée.
17h00 Choix de l'emplacement et installation du camp, promenade dans les alentours, préparation du feu, veillée.
Cet itinéraire est simplement une indication du déroulement de notre randonnée, au cours de laquelle plusieurs journées pourront être entièrement dédiées à des balades à pied ou à d'autres activités au choix. Il est essentiel que chaque participant participe activement à la vie quotidienne, que ce soit en cherchant du bois, en ramenant de l'eau, en montant sa tente, ou en aidant à la préparation des repas. Ces tâches font intégralement partie de notre mode de voyage.
En fonction du groupe et du guide, les journées peuvent également débuter plus tard, sans pour autant être plus courtes (en raison parfois de débarquements tardifs). L'objectif principal demeure de tirer le meilleur parti des richesses du site. Patienter quelques heures pour bénéficier d'une belle lumière sur un glacier peut grandement améliorer le souvenir que l'on en conservera.
[b]Les moustiques[/b]
Les insectes varient d'une année à l'autre et d'un endroit à l'autre. Malgré tout, avec des produits adaptés, ils restent généralement supportables. Les crèmes anti-moustiques françaises ne sont pas idéales pour les régions arctiques ; privilégiez les produits locaux. Un tube peut être utile en attendant d'en acheter sur place. Bien que la moustiquaire ne soit pas toujours nécessaire, sa légèreté en fait un ajout judicieux au sac à dos.
[b]Durée du voyage - autonomie[/b]
La durée en autonomie est préalablement déterminée dans le programme de chaque séjour. Plus elle est longue, plus vous vous éloignez des villages habités, nécessitant une préparation à l'isolement total. En cas de problème, le rapatriement est relativement simple près d'un village, mais devient une aventure à plusieurs dizaines voire centaines de kilomètres. Les secours sont lents, donc vous devez être conscients que vous êtes essentiellement responsables de votre propre sécurité.
[b]Les conditions météo[/b]
La météo, particulièrement imprévisible à ces hautes latitudes, peut vous réserver des conditions difficiles. Êtes-vous prêt à affronter la pluie, le vent, la neige, et l'attente pendant une, deux, voire trois semaines en cas de malchance ? Bien que ce soit l'une des principales difficultés, soyez rassuré : il fait aussi très souvent beau, et quinze jours voire trois semaines de ciel bleu ne sont pas rares.
[b]La sécurité[/b]
Nos raids sont équipés de balises de détresse de type Sarsat, qui, en cas d'extrême urgence, déclenchent l'intervention du moyen de secours le plus approprié. Cependant, le délai d'intervention peut varier de quelques heures (en cas d'hélicoptère ou d'avion) à plus d'un jour (en cas de bateau). Le guide dispose également d'un téléphone satellite qu'il utilise pour informer l'agence de l'itinéraire suivi.
La combinaison sèche est un gage de sécurité excellent en cas de chute dans l'eau froide, mais le port du gilet de sauvetage demeure obligatoire.
En mer comme à terre, il est impératif de ne jamais s'écarter du groupe sans en informer l'accompagnateur. En mer, il est crucial que les kayaks restent à portée de voix. Chaque jour, en fonction de la météo et de la nature de l'étape, l'accompagnateur donnera des consignes spécifiques. Pour l'embarquement et l'accostage, suivez ses indications, car chaque lieu de débarquement est unique.
En cas de retournement en mer, sortez immédiatement du kayak, agrippez-vous à la coque et éventuellement montez dessus. N'essayez jamais de nager jusqu'à la rive. L'accompagnateur décidera de la méthode de sauvetage à appliquer (remise à flot, remorquage, prise en charge par des kayaks sauveteurs). En cas de retournement, restez calme, car ces situations sont très rares, généralement liées à une imprudence de l'équipage et se terminent toujours favorablement.
[b]Les kayaks[/b]
Ils offrent une stabilité remarquable à condition de respecter certaines règles fondamentales... Notre flotte se compose de kayaks "Kodiak" (biplaces "Biwok" et monoplaces "Aquanaut") ou "Looksha" de Necky. Ces kayaks rigides sont à la fois maniables, stables et dotés d'une bonne vitesse de déplacement, les rendant adaptés, notamment, pour une première expérience. Le kayak facilite le déplacement d'un point à un autre et le transport de l'équipement. La principale échelle de difficulté à considérer concerne la durée et les conditions météorologiques. Il est important de noter que par temps clair et en mer calme, la randonnée en kayak est, toutes proportions gardées, plus accessible que la randonnée à pied.
[b]Préparation du raid[/b]
Un minimum d’une demi-journée (voire plus) est toujours nécessaire pour préparer le départ : conditionnement de la nourriture, des effets collectifs et personnels, chargements des kayaks, réglages des pédaliers, essayage de la combinaison sèche, sont d’autant d’impératifs qui retardent la première mise à l’eau. A vous de vous organiser et d’aider l’accompagnateur pour perdre le moins de temps possible.
[b]Chargement des kayaks[/b]
Deux larges sacs étanches vous sont remis au début de l'expédition, abritant vos effets personnels. Ils sont placés dans les compartiments étanches des kayaks rigides. Un grand sac peut facilement se caser entre les jambes du kayakiste, ce qui cale agréablement les genoux. L’intérieur de la coque est réservé à la tente, la nourriture et à tout ce qui est lourd (trépied photo, chaussures de marche, bidons d’eau...).
[b]Les sacs étanches[/b]
En kayak, tout se mouille plus ou moins. Les affaires personnelles seront donc rangées dans des sacs étanches. Prévoyez des sacs plastiques pour doubler la protection de vos affaires, et également vos propres sacs étanches pour tout le matériel précieux (matériel photo…).
[b]Entretien de l'équipement[/b]
Nos kayaks sont tous en parfait état, entièrement révisés avant l’été. Il est donc important d’en prendre soin pour que les participants à un séjour en fin de saison puissent bénéficier d’un matériel de même qualité. Les kayaks doivent être sortis de l’eau, vidés et retournés tous les soirs. Evitez toutes formes de chocs ou de frottements contre les cailloux ; accostez safran levé. La petite glace ne pose pas de problème pour être traversée en kayak, mais les gros morceaux sont de véritables dangers pour la coque et peuvent la percer. N’hésitez pas à faire part à l’accompagnateur de toute anomalie.
Vous ne devez pas fumer lorsque vous êtes en tenue de kayak ( tout simplement pour éviter de faire des trous dans les jupes, gilets ou combinaisons !… il en est d’ailleurs de même dans les tentes, par simple respect pour les personnes qui vous suivront et qui ne souhaitent pas forcément y sentir des odeurs de tabac !).
[b]La navigation[/b]
La vitesse moyenne de progression oscille entre 4 et 5 km/h, sans prendre en compte les arrêts. Une étape de 15 km par jour est considérée comme moyenne, tandis qu'elle devient très bonne à partir de 25 km.
Dans un kayak biplace, c'est la personne à l'arrière qui dirige l'embarcation à l'aide d'un pédalier relié au gouvernail (le safran étant la partie immergée du gouvernail). La personne assise à l’avant est chargée de donner le rythme de pagayage, auquel l’équipier à l’arrière devra s’adapter..
Un rythme rapide en "effleurant l'eau" ne peut rivaliser avec un rythme lent en appliquant une pression sur la pagaie. Il est crucial de ressentir la résistance de l'eau pour avancer. Il est recommandé de tendre les bras et de porter la pale de la pagaie loin en avant pour obtenir un mouvement ample (le parcours de la pale dans l'eau doit être aussi long que possible). Bien que l'effort ne soit jamais violent, il est bien présent.
Si vous n'êtes pas un adepte du sport et que, après votre première sortie en kayak, vous ne ressentez pas de fatigue... il serait peut-être bon de vous inquiéter de l'état de votre équipier...
[b]Quelques aspects pratiques[/b]
La peau des mains met très longtemps avant de s’insensibiliser aux frictions avec la pagaie ; prévoyez le nécessaire contre les ampoules, ainsi que des gants.
On sera combien
De 5 à 10 personnes.
Suivez le guide
Guide spécialiste du milieu polaire, breveté d’Etat kayak et francophone.
On se deplace comment sur place
A pied, en kayak et en bateau entre Ilulissat et Saqqaq.
Esprit du voyage
Attention, voyage emblématique en perspective ! Cette expédition réunit tous les trésors de l'Arctique : icebergs imposants, glaciers majestueux, chasseurs pêcheurs inuit, fjords étendus, baleines, phoques, renards polaires, et bien plus encore... Une expérience exceptionnelle. Toutefois, cette aventure requiert une excellente capacité d'adaptation ainsi qu'une forme physique robuste pour s'ajuster aux conditions du Groenland. Un esprit d'équipe exceptionnel est également indispensable pour participer aux tâches quotidiennes telles que la cuisine, la vaisselle, le montage et le démontage des tentes, ainsi que le portage des kayaks sur la grève. Il sera également crucial pour apporter son soutien aux compagnons de voyage et s'adapter aux conditions changeantes du Groenland, ce qui fait de chaque voyage une aventure unique !
NB
Les conditions météorologiques variables telles que le vent, la pluie, le brouillard, la présence de glace, ou même des incidents tels que l'effondrement d'un glacier peuvent perturber le voyage. La condition physique du groupe, associée à la présence d'animaux dangereux tels que l'ours blanc, ajoute une dimension imprévisible. Il faut être prêt à s’adapter en cas de retards, annulations de vols ou de bateaux pour les transferts, modifications d'itinéraires, à rester bloqués 1, 2 ou 3 jours au même endroit en attendant des améliorations, ou encore des problèmes logistiques liés à l'acheminement. Le guide reste le seul décisionnaire sur le terrain.
Pour des raisons de rotations aérienne, la date du 05/08 aura une journée de plus à Ilulissat avant de prendre le bateau pour rejoindre le nord de la Baie de Disko. Vous pourrez en profiter pour visiter la ville.
Ce voyage est soumit à l'obligation d'être couvert par une assurance spécifique (Cf. "Formalités spécifiques")
Pour des raisons de rotations aérienne, la date du 05/08 aura une journée de plus à Ilulissat avant de prendre le bateau pour rejoindre le nord de la Baie de Disko. Vous pourrez en profiter pour visiter la ville.
Ce voyage est soumit à l'obligation d'être couvert par une assurance spécifique (Cf. "Formalités spécifiques")
Petit equipement personnel
- Lunettes de soleil classe 4 (classe 3 minimum)
- Gourde isotherme (1 L min.)
- Mini-trousse de toilette, petite serviette, crème solaire, stick à lèvres
- Sacs pour ramener les déchets à Ilulissat
- Sacs étanches légers pour protéger vos affaires personnelles dans le kayak
- 1 couteau pliant (à mettre dans le bagage en soute)
- 1 rouleau de papier toilette (dans un petit sac étanche)
- 1 briquet pour brûler le papier toilette (à mettre dans le bagage en soute)
- 1 spécialité de votre région sera bienvenue (alcool, fromage, saucisson)
- 1 sifflet (type secours ou à roulette)
- 1 frontale avec piles de rechange (à partir du mois d'août)
- Jumelles (facultatif)
Photos : attention au froid. Pensez à changer les piles avant votre départ, mettez des piles au lithium, plus résistantes au froid. Vous pouvez même au moins prendre un jeu de piles supplémentaire, car elles ont une durée de vie plus courte dans le froid. Les appareils étanches type baroudeur sont bien adaptés.
- Gourde isotherme (1 L min.)
- Mini-trousse de toilette, petite serviette, crème solaire, stick à lèvres
- Sacs pour ramener les déchets à Ilulissat
- Sacs étanches légers pour protéger vos affaires personnelles dans le kayak
- 1 couteau pliant (à mettre dans le bagage en soute)
- 1 rouleau de papier toilette (dans un petit sac étanche)
- 1 briquet pour brûler le papier toilette (à mettre dans le bagage en soute)
- 1 spécialité de votre région sera bienvenue (alcool, fromage, saucisson)
- 1 sifflet (type secours ou à roulette)
- 1 frontale avec piles de rechange (à partir du mois d'août)
- Jumelles (facultatif)
Photos : attention au froid. Pensez à changer les piles avant votre départ, mettez des piles au lithium, plus résistantes au froid. Vous pouvez même au moins prendre un jeu de piles supplémentaire, car elles ont une durée de vie plus courte dans le froid. Les appareils étanches type baroudeur sont bien adaptés.
Volez en bonne compagnie
Vols réguliers.
On dort ou
- J1 : 1 nuit à l'hôtel à Copenhague en chambre twin avec sanitaires privés
- J2 : 1 nuit à Ilulissat en guesthouse ou auberge selon les disponibilités
- J3 à J16 : 14 nuits en bivouac : sous tente biplace et une tente mess est prévue pour les petits déjeuners et dîners.
- J17 : 1 nuit à Ilulissat en guesthouse ou auberge selon les disponibilités
- J18 : 1 nuit à l'hôtel à Copenhague en chambre twin avec sanitaires privés
Il est possible de souscrire à une chambre individuelle à Copenhague et à Ilulissat pour 325€ par personne.
- J2 : 1 nuit à Ilulissat en guesthouse ou auberge selon les disponibilités
- J3 à J16 : 14 nuits en bivouac : sous tente biplace et une tente mess est prévue pour les petits déjeuners et dîners.
- J17 : 1 nuit à Ilulissat en guesthouse ou auberge selon les disponibilités
- J18 : 1 nuit à l'hôtel à Copenhague en chambre twin avec sanitaires privés
Il est possible de souscrire à une chambre individuelle à Copenhague et à Ilulissat pour 325€ par personne.
Le prix comprend
~ Les vols Paris/Illulissak aller-retour avec escale
~ Votre transfert depuis l’aéroport d’arrivée (et vers celui-ci au retour), si vous avez réservé votre vol auprès de Nomade Aventure (sauf dates différentes du reste du groupe)
~ Les petits-déjeuners, déjeuners et dîners sauf les déjeuners et dîners au Danemark
~ L'encadrement d'un guide kayak diplômé d'Etat et francophone
~ 2 nuits en hôtel à Copenhague en chambre twin avec sanitaires privés
~ 2 nuits à Ilulissat
~ Le matériel de camping (tente, matelas de sol, vaisselle et matériel de cuisine)
~ Le prêt de tout le matériel spécifique kayak
~ L'accès au service médical de l'IFREMMONT 24h/24, 7J/7 (dans la mesure ou une communication GSM ou satellite peut être établie).
~ Et en bonus chez Nomade Aventure, pas de frais de dossier !
~ L'absorption à 100 % des émissions de CO2 générées par votre voyage (vols éventuels, transport et hébergement sur place)
~ Votre transfert depuis l’aéroport d’arrivée (et vers celui-ci au retour), si vous avez réservé votre vol auprès de Nomade Aventure (sauf dates différentes du reste du groupe)
~ Les petits-déjeuners, déjeuners et dîners sauf les déjeuners et dîners au Danemark
~ L'encadrement d'un guide kayak diplômé d'Etat et francophone
~ 2 nuits en hôtel à Copenhague en chambre twin avec sanitaires privés
~ 2 nuits à Ilulissat
~ Le matériel de camping (tente, matelas de sol, vaisselle et matériel de cuisine)
~ Le prêt de tout le matériel spécifique kayak
~ L'accès au service médical de l'IFREMMONT 24h/24, 7J/7 (dans la mesure ou une communication GSM ou satellite peut être établie).
~ Et en bonus chez Nomade Aventure, pas de frais de dossier !
~ L'absorption à 100 % des émissions de CO2 générées par votre voyage (vols éventuels, transport et hébergement sur place)
Le prix ne comprend pas
~ Les repas sauf les petits-déjeuners à l'hôtel à Copenhague
~ Votre transfert depuis l’aéroport d’arrivée (et vers celui-ci au retour) si vous avez réservé votre vol de votre côté ou arrivez ou repartez un jour différent du reste du groupe
~ Les transferts à Copenhague
~ L’assurance facultative : Tranquillité (rapatriement, assistance médicale et annulation), ou Tranquillité CB (complémentaire des cartes Visa Premier ou Mastercard Gold)
~ Le supplément chambre individuelle (voir onglet "fiche technique", rubrique "On dort où ?")
~ Les visites et activités indiquées comme optionnelles ou effectuées lors des temps libres
~ Les boissons et éventuels pourboires (voir onglet "fiche technique", rubrique "Pourboires").
~ Votre transfert depuis l’aéroport d’arrivée (et vers celui-ci au retour) si vous avez réservé votre vol de votre côté ou arrivez ou repartez un jour différent du reste du groupe
~ Les transferts à Copenhague
~ L’assurance facultative : Tranquillité (rapatriement, assistance médicale et annulation), ou Tranquillité CB (complémentaire des cartes Visa Premier ou Mastercard Gold)
~ Le supplément chambre individuelle (voir onglet "fiche technique", rubrique "On dort où ?")
~ Les visites et activités indiquées comme optionnelles ou effectuées lors des temps libres
~ Les boissons et éventuels pourboires (voir onglet "fiche technique", rubrique "Pourboires").
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